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jeudi 9 décembre 2010

Des carambolages amusants…

Après mon long article, montrant ma préférence pour la politique agricole de Nouvelle-Zélande, comparativement à celle de l'Europe… Je vais donner dans le post court aujourd'hui.


En lisant les actualités aujourd'hui, je n'ai pas décidé de parler de la neige. Je reste persuadé qu'une solution simple passerait par la mise en place du principe de SUBSIDIARITE en France au lieu de la centralisation. La coordination locale des moyens est bien plus efficace que la centralisation!






Pourtant, je parle de carambolages dans mon titre. Alors, chers lecteurs, j'espère que vous vous demandez pourquoi! Eh bien, je veux parler de deux actualités amusantes qui se croisent dans la même journée.



Le Figaro, dans sa propagande pour les socialistes de droite, nous explique que le budget du gouvernement est rudement bien ficelé et il reste dans les clous! (Les pneus clous? C'est utile dans les circonstances hivernales!).

Stop aux dérapages du budget avec le budget dans les clous!



Il est à noter que pour payer les fonctionnaires en décembre, il y aura une coupe claire de 2,3 milliards d'euros. Bref, tout va bien, les dépenses augmentent bien moins vite que les recettes. Nous sommes dans les clous de ce qui a été prévu. Bref une rigueur très française avec un déficit de 133.1 milliards d'euros. Et c'est là, qu'en République Tchèque, le nouveau gouvernement vient de redonner tout pouvoir au parlement pour contrôler la réussite du budget.

Accident France - République Tchèque
Oui, vous avez bien lu : les députés du parlement Tchèque seront intéressés au déficit de leur pays. Si le budget de l'Etat est en déficit de x% du PIB, le parlementaire verra son salaire diminuer de 2x% l'année suivante! En France, si cette très bonne idée était appliquée, les députés auraient une baisse de leur salaire de 15.8 % pour 2012 et de 14.4 % pour 2013, si le budget reste dans les clous comme actuellement...



Alors à quand cette loi pour que les politiques publiques soient justement évaluées et arrêtées en cas de leurs inutilités, que le nombre de fonctionnaires soit réellement connus (et pas à 20.000 près comme c'est le cas aujourd'hui), l'arrêt des subventions aux syndicats, aux médias, la mise en place d'une flat tax et de la retraite par capitalisation pour tous! En tout cas, je suis impatient de voir les résultats sur l'économie tchèque!

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